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didier raoult - Page 2

  • Didier Raoult : «Dans les pays où on a le plus vacciné, il y a le plus de cas»

    Publié par Guy Jovelin le 12 janvier 2022

    Invité de Sud Radio le 11 janvier, le professeur et directeur de l’IHU Méditerranée Infection Didier Raoult a estimé que la vaccination pouvait avoir des conséquences sur la hausses de cas positifs au Covid-19.

    Expliquant qu’il étudiait les données de l’université John Hopkins, le professeur Raoult a confié qu’il «ne compren[ait] pas cette épidémie [et qu’il] ne compren[ait] pas ce qui se pass[ait]».

    Selon lui, «l’élément déclenchant a été la présentation […] de Jacques Fantini [professeur de biochimie et biologie moléculaire à l’université d’Aix-Marseille] sur les anticorps facilitants.» Et Didier Raoult d’ajouter qu’«il y a une zone dont personne ne veut parler, ce sont les 15 jours ou les trois semaines après l’injection vaccinale, que ce soit la première dose, la deuxième, la troisième ou même maintenant la quatrième».

    Il évoque de fait «une zone grise» car «une seule solution» a été envisagée dans nos sociétés pour faire face au coronavirus : «Que le vaccin était protecteur.» «En réalité, […] on ne déclare pas toutes les infections qui sont dans les 15 jours suivant l’injection», ajoute-t-il, assurant que «c’est là qu’il y en a le plus en réalité».

    Même incidence de cas positifs chez les vaccinés et les non-vaccinés

    «[A l’Institut Hospitalo-Universitaire Méditerranée Infection], dans les cas qui se présentent» pour se faire tester, il assure qu’«il y a la même incidence [cas positifs]» tant parmi les non-vaccinés que parmi les vaccinés.

    «Les gens qui sont vaccinés sont aussi symptomatiques que les non-vaccinés, ils ont les mêmes charges virales», appuie-t-il, ajoutant : «Mais ce qui est très intéressant, c’est qu’il y a entre 25 et 30% [parmi] les vaccinés, qui ont eu une injection depuis moins de trois semaines». Et pour Didier Raoult, «10% des cas que nous diagnostiquons actuellement sont des gens qui viennent d’avoir une injection».

    Se référant aux statistiques de John Hopkins, Didier Raoult commente que «dans tous les pays survaccinés, c’est les pays qui ont eu le plus de vaccins qui ont le plus de cas actuellement». «En France, 25% des cas de Covid sont survenus depuis moins d’un mois, [période où] on a fait 15 millions d’injections vaccinales».

    Selon l’infectiologue, il faut donc se pencher sur «cette question des anticorps facilitants [car] on sait désormais que la vaccination ne contrôle pas l’épidémie». «Comment se fait-il que dans les pays où on a le plus vacciné, il y a le plus de cas ?», questionne-t-il par voie de conséquence.

    Source

  • « Je suis désolé de ne pas être d’accord avec les autorités… » : Didier Raoult pique le gouvernement [VIDEO]

    Publié par Guy Jovelin le 09 janvier 2022

    Didier Raoult va finir par être un habitué de « Touche pas à mon poste ». Pour la troisième fois depuis le début de la saison, le célèbre microbiologiste répondait aux questions de Cyril Hanouna vendredi soir 7 janvier. En visioconférence depuis l’IHU Méditerranée, le controversé spécialiste des maladies infectieuses est revenu sur le variant Omicron, dont il confirme la moindre dangerosité par rapport à ces variants prédécesseurs.

    « Je n’aime pas les prédictions mais globalement, ce qu’il se passe souvent, quand un virus s’adapte à un nouvel éco-système, en l’occurence l’homme, au fur à mesure il devient plus contagieux et moins dangereux. C’est ce qu’il s’est passé avec la grippe. Nous avons vraiment mesuré dans toute l’année 2021 le pourcentage d’hospitalisés et de morts avec le premier virus et tous les variants puis maintenant Omicron. Clairement, la proportion de gens hospitalisés est très faible », a-t-il commenté.

    « il n’y pas d’évidences que les non vaccinés soient plus contagieux que les vaccinés. Pour le delta, les vaccinés avait des charges virales supérieures aux non vaccinés ! »

    Vidéo : https://twitter.com/i/status/1479576406665449472



     

     

  • Ordre des médecins contre Didier Raoult : juste une petite tape sur les doigts…

    Publié par Guy Jovelin le 04 décembre 20212

    Beaucoup de bruit pour rien, ou presque…

    Ce vendredi, l’Ordre des médecins de Nouvelle-Aquitaine n’a pu qu’infliger qu’un « blâme » au professeur Didier Raoult, à la suite de deux plaintes déposées par ses pairs fin 2020. Composée de 8 médecins et présidée par un magistrat administratif, l’instance a publié cette sanction, sans l’assortir de ses motivations.

    Depuis fin 2020, l’infectiologue marseillais de 69 ans était visé par deux plaintes déposées par l’Ordre des médecins des Bouches-du-Rhône et le conseil national de l’Ordre des médecins (Cnom). Il lui était reproché d’avoir fait la promotion de l’hydroxychloroquine pour traiter le Covid-19, « sans données scientifiques établies » – ce qui s’apparente à du « charlatanisme », avait affirmé le rapporteur de la chambre disciplinaire lors d’une audience le 5 novembre à Bordeaux, dépaysée loin de Marseille. Le professeur Raoult était également accusé d’avoir pris des « risques inconsidérés » en soignant des patients avec ce traitement « non éprouvé par la science ».  Les plaintes l’accusaient aussi d’avoir enfreint, par sa communication, l’article 56 du code de déontologie, en « manquant à son devoir de confraternité » envers d’autres médecins.

    L’actuel directeur de l’Institut hospitalo-universitaire Méditerranée Infection (IHU) risquait une sanction allant du simple avertissement à la radiation, ou à une interdiction temporaire d’exercer. Présent début novembre devant la chambre par « respect pour cette institution », Didier Raoult, à la retraite depuis le 31 août comme professeur d’université praticien hospitalier, s’était estimé « pas concerné » par d’éventuelles sanctions. « Ce sont les médecins qui se plaignent de nous, pas les patients », avait-il lancé à l’avocat des plaignants, assurant en avoir reçu « plus de 600.000 » au sein de l’IHU durant la crise sanitaire, « sans aucune plainte » de leur part. Le scientifique avait par ailleurs maintenu son constat de « la réussite » de son traitement conjuguant hydroxychloroquine et azythromicine pour traiter les malades du Covid-19.

    Son avocat, le bouillant Fabrice Di Vizio se félicite sur twitter de ce jugement qu’il estime être une victoire pour Didier Raoult :

    « Délibéré @raoult_didier : un blâme ! Une décision de préservation de paix sociale qui témoigne du ridicule des accusations théâtrales de l’ordre des médecins ! Aujourd’hui @raoult_didier a reçu une tape sur les doigts et on est loin du @raoult_didier dangereux, assassin. »

    « Et toutes ces autres conneries racontées depuis un an ! C’est une belle victoire pour La Défense une belle victoire pour la paix sociale ! @ordre_medecins va t’il se ridiculiser en relevant appel et faire un caprice d’enfant déçu ? Aujourd’hui nous pouvons dire #merciraoult »

    « De la décision de la chambre disciplinaire il s’infère une réalité : @raoult_didier avait raison de proposer l’hydroxyclhoroquine à ses patients ! L’ordre s’était plus à le traiter de charlatan et d’assassin et nous avions démontré que nous avions raison sur toute la ligne depuis le 1er jour ! »

     

     

     

    En effet, si l’on considère ce qu’il lui était reproché, si c’était un charlatan, on l’aurait interdit d’exercer. Raoult est donc bien innocent dans sa pratique de la médecine pendant cette crise sanitaire.

    Ce blâme, qui signe la déconfiture en cette affaire de l’Ordre des médecins, est donc une sanction pour satisfaire le politique qui a Raoult et sa liberté de ton et de prescrire en ligne de mire. Et pour bien mesurer à quel point le politique est derrière cette chasse aux sorcières dont l’infectiologue marseillais fait les frais, rappelons que si ce grand professeur français est « blâmé » par ses pairs pour avoir soigné des malades, ce que ses pairs ont refusé de faire, la légion d’honneur a été remise à Karine Lacombe, pour avoir fait la promotion du coûteux et dangereux remdesivir et enchaîné les contre-vérités sur les non-vaccinés.

    Tout est dit sur ‘l’honnêteté’ intellectuelle et sanitaire de Macron, Castex, Véran & Co…

    Francesca de Villasmundo

     

    Source : medias-presse.info

  • Didier Raoult : « Le Taux de Létalité des Patients du Covid lorsqu’ils sont Traités avec l’Hydroxychloroquine : 0,1% ! »

    Publié par Guy Jovelin le 12 novembre 2021

    Le taux de létalité des patients du Covid lorsqu’ils sont traités avec l’HCQ: 0,1%. Mortalité proche de la grippe classique.

    Donc Macron fait n’importe quoi depuis un an alors que cette épidémie était simple à gérer ?.
    50.000 morts de trop et 300 milliards d’euros brûlés

  • Le Pr Didier Raoult répond aux mensonges de Mediapart

    Publié par Guy Jovelin le 28 octobre 2021

     

    Les chiens sont lâchés contre le Pr Raoult. Avant-garde de Big Pharma, Médiapart montre les crocs. Mais pourquoi la loi Avia ne s’applique-t-elle pas à tant de haine ? Et d’ailleurs pourquoi tant de haine ? Ah ! elle est belle l’attaque sans argument, le scud sans munition ! On vous a déjà montré l’embrouille dans cet article .

     

     

     

    Sans l’OMS pas de salut, et pourtant…

    Quels sont les « arguments » de Médiapart ? La première banderille : sulfadiazine et minocycline, deux composants du cocktail utilisé à l’IHU de Marseille pour soigner la tuberculose, ne sont pas approuvés par l’OMS.
    Sur le site de l’OMS, p 108, les médicaments préconisés pour la tuberculose sont l’isoniazide, la rifampicine, la pyrazinamide, l’éthambutol et la streptomycine. Ce sont les premiers à avoir été découverts en 1946-1948. Ils se sont révélés soit inefficaces contre la tuberculose pulmonaire (streptomycine), soit trop longs à administrer pour être efficaces (18 mois dans les années 60), car les patients des pays pauvres ne suivent pas le protocole jusqu’au bout (voir la conférence du Pr Jacques Grosset). Et quand on dit pas efficaces, cela veut dire 1,2 à 1,6 million de morts par an.

    Sulfadiazine et minocycline, utilisés à l’IHU de Marseille, ont pourtant été approuvés par l’ANSM : la sulfadiazine dans le traitement de la toxoplasmose et la minocycline contre l’acnée.
    Outre la liberté de prescription du médecin (fort mise à mal actuellement), l’ordre des Médecins prévoit qu’il est licite d’utiliser des médicaments hors AMM. Rien n’interdit de les utiliser pour une autre maladie que celle qu’ils ont traitée à l’origine.
    Le Pr Chabrière signale une étude de 2013 du Pr Drancourt (IHU de Marseille) sur la sulfadiazine concluant à l’efficacité de cette sulfamide comme alternative aux antibiotiques antituberculeux.

    Des médicaments connus de tous, sauf de Médiapart

    Deuxième banderille : les deux autres médicaments faisant partie de cette « expérimentation », affirme Médiapart, sans se soucier ni de prouver qu’il y a eu expérimentation ni de préciser les noms des médicaments, ne sont pas considérés comme les plus performants contre la tuberculose. Le Pr Raoult est certainement moins compétent que la journaliste de Médiapart, mais lui, il connaît le nom de ces médicaments. Il s’agit de deux traitements de la lèpre, la moxifloxacine et la clofazimine. Quant à une pseudo expérimentation, il s’en explique. La journaliste de Médiapart n’est pas outillée intellectuellement pour faire la différence entre expérimentation et traitement. Les explications psychologiques de Didier Raoult des méfaits de lobbies qui brassent des milliards et interdisent la recherche en France sont moins convaincantes que ses arguments scientifiques. Disons qu’il se refuse à hausser le ton.

    Le Pr Jacques Grosset était le numéro 1 mondial du traitement de la tuberculose. Ses recherches à La Pitié-Salpêtrière, puis à l’université John Hopkins, avaient deux objectifs :
    – réduire la durée du traitement de la tuberculose
    – traiter les bactéries résistant aux antibiotiques actuels à cause de traitements interrompus. Les deux problèmes sont liés : des traitements sont interrompus parce que leur durée est très longue et créent des bactéries qui leur résistent.

    Premier objectif des médecins et chercheurs : réduire la durée du traitement

    Dans une étude en 2015, il a réanalysé la clofazimine, un antibiotique très bon antituberculeux, découvert dans les années 50 et utilisé des centaines de millions de fois. Titre de l’étude : « La clofazimine raccourcit la durée du régime de traitement de première intention pour la chimiothérapie expérimentale de la tuberculose ». La clofazimine (ou Lamprène®) est le traitement le plus efficace de la tuberculose et réduit la durée de l’infection. Ce médicament anodin, connu dans le monde entier, associé à un antituberculeux traditionnel, la pyrazinamide, est le meilleur de tous les traitements de la tuberculose.
    La clofazimine reste efficace quand les autres antibiotiques sont devenus inefficaces. Il y a très peu de résistance à la clofazimine (0,22 %). Nouvelle référence du corps médical, Médiapart, la classait sans rire dans les médicaments qui « ne sont pas considérés comme les plus performants contre la tuberculose ».
    À l’IHU, en revanche, on sait de quoi on parle quand on parle de tuberculose. Le premier des « publiants », en dehors de Harries, est Michel Drancourt, un collègue de Raoult. Pour nous, ajoute ce dernier, la bactérie la plus proche de celle de la tuberculose, c’est celle de la lèpre. Les médicaments utilisés depuis des décennies contre la lèpre (moxifloxacine et clofazimine) marchent pour la tuberculose. Inutile donc de mettre au point des nouvelles molécules qui vont coûter cher.

    Deuxième objectif : traiter les bactéries résistant aux antibiotiques

    Le Pr Raoult ajoute : « Est-ce qu’on peut traiter une tuberculose multi résistante avec la moxifloxacine et la clofazimine ? La réponse est oui. C’est pas de la recherche, c’est de la médecine. et c’est sur le site de l’OMS. La tuberculose fait partie des maladies en deuxième intention qu’on peut soigner avec les médicaments contre la lèpre. »

    Attention ! soigner, c’est de l’expérimentation illégale

    A l’accusation de Médiapart d’avoir pratiqué de l’expérimentation illégale, le Pr Raoult explique : « Est-ce que en associant la clofazimine à la pyriméthamine, on peut raccourcir le traitement chez les populations dont on sait qu’elles vont avoir de grandes difficultés à prendre le traitement ? Pour cela, on a demandé à faire un essai thérapeutique. Deux fois un comité des personnes nous a donné un avis favorable, puis on a eu une interdiction de l’ANSM fondée sur on ne sait quoi, qui nous a dit il n’y a pas assez de bibliographie là-dessus. Pourtant il est sorti 411 publications dans les 25 dernières années. Est-il normal que pour des recherches menées par des chercheurs reconnus sur des médicaments qui sont utilisés depuis des années avec succès, soient interdites par des gens n’ayant aucune compétence ? Il y a dix pays qui font des essais pour savoir si on peut raccourcir le traitement en ajoutant de la clofazimine. Résultats : on peut réduire le traitement des tuberculoses résistantes à neuf mois en ajoutant clofazimine et pyriméthamine ! »

    Recherche ? interdit ! danger !

    « Donc on n’a pas fait de recherches, car on a bien assez d’ennuis comme ça. Sur près de 300 tuberculose qui ont été diagnostiquées, 85 ont été traitées ici, dont 17 ont reçu de la clofazimine et pyriméthamine, 13 avaient des bacilles résistants qui correspondaient à une des recommandations de l’OMS, 3 SDF (on sait qu’ils n’arriveront pas à appliquer pendant 6 mois le traitement). Ce sont des décisions qui sont prises, comme le dit la loi sur la prescription et délivrance des médicaments hors AMM. »

    Un médecin de plateau complotiste se lâche contre Raoult

    Si le Pr Gilbert Deray n’a pas déclaré ses conflits d’intérêts (160 649 € versés par les labos), en revanche il a déclaré sur France 5 : « Quand vous rajoutez là-dessus de la politique, Didier Raoult finalement, dans l’HCL, moi, ce que je dis, n’a été qu’un pantin dont les fils ont été tirés par des gens bien plus puissants que lui : Bolsonaro, Trump et Narendra Modi (NDLR : Premier ministre de l’Inde) qui se sont servis de ce qui leur a été offert pour faire du mal à leurs populations. Vous avez vu ce qui se passe au Brésil avec l’affaire de cette chaîne de pitou (sic) qui ont donné des kits de chloroquine à des vieilles personnes qu’ils ont laissé mourir parce qu’ils ne voulaient pas que l’on puisse dire que l’épidémie était un problème. Quand vous mélangez l’ubris et la politique, vous avez un désastre. »

    Un vrai cas d’école de « projection mentale » ! Définition : opération par laquelle une personne place sur quelqu’un d’autre ses propres sentiments, afin de se sortir d’une situation émotionnelle vécue comme intolérable. Ou plus simplement : « c’est celui qui l’dit qui l’est ». Muni de cet éclairage hautement psychanalytique, on comprend mieux le vrai message délivré par Gilbert Deray :

    « Quand vous rajoutez là-dessus de la politique, Olivier Véran finalement, dans la vaccination covid, moi, ce que je dis, n’a été qu’un pantin dont les fils ont été tirés par des gens bien plus puissants que lui : Vanguard, Pfizer et Bill Gates qui se sont servis de ce qui leur a été offert pour faire du mal aux populations. Vous avez vu ce qui se passe en Israël avec l’affaire de cette troisième dose à des personnes qu’ils ont laissé mourir parce qu’ils ne voulaient pas que l’on puisse dire que la vaccination était un problème. Quand vous mélangez l’ubris et la politique, vous avez un désastre. »

    La Timone : un état des lieux désolant

    Didier Raoult, de son côté, ne peut que constater les dégâts de la gestion politico-bureaucratique : « Des dossiers personnels de patients diffusés dans la presse, des taupes partout, de l’hostilité, du mensonge, des réactions immédiates sur des rumeurs fausses. Notre directeur général devrait nous protéger au lieu de nous harceler. Quelqu’un veut détruire l’IHU. Me foutre dehors et Chabrière aussi. La Timone est moins bien gérée que l’hôpital général à Dakar. C’est un hôpital du tiers-monde. Il y a un peu de jalousie parce que, ici, on a refait les peintures et qu’on marche bien. A La Timone les prof s’en vont. Que le directeur général s’en occupe ! Que les administratifs retournent à leur métier. Quant aux journalistes, ils perdent toute crédibilité. » S’ils l’ont jamais eue, peut-on ajouter. Il faut dire que Pascale Pascariello, c’est pas Albert Londres et qu’il faut bien qu’elle gagne sa croûte. Pourquoi ne pas essayer de trouver un métier honnête, hein Pascale ?

    Jacqueline pour Le Média en 4-4-2